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Qu’est-ce que la condamnation à se soigner ?

Qu’est-ce que la condamnation à se soigner ?

Se soigner représente une action inévitable  pour garder les états naturels les plus acceptables dont le bonheur et la santé.  La condamnation à se soigner ne se limite pas  au corps, aux blessures corporelles, il s’agit aussi et surtout de soigner les blessures d’âme et toutes autres attitudes compromettantes à la bonne santé et la bonne relation sociale.

Les types d’anomalie faisant l’objet  de la condamnation  à soigner

Les mauvaises habitudes comme l’alcoolisme et la drogue font partie  des objets de la condamnation à soigner. Derrière ces phénomènes se cachent les blessures de l’âme qui poussent l’individu à se positionner à un niveau d’existence inadéquat, sinon agitateur.

Le comportement de l’individu est infecté par ces blessures et il ne trouve pas d’issu qu’en se plongeant dans ces mauvaises habitudes. S’agissant des personnes appréhendées et condamnées par le tribunal, il en existe qui ont besoin de soins. Les tribunaux correctionnels jugent que la condamnation à soigner fait l’objet d’une consultation d’un psychiatre, en complément de leur détention. Ils considèrent cela comme une obligation de soins afin de réduire la récidive. La condamnation à soigner est donc similaire à un anti-virus s’il s’agit d’un ordinateur, sinon le système va être détruit et deviendra irréparable.

La condamnation à soigner fait partie du suivi socio-judiciaire

Parfois, sans condamnation à soigner,  des brigands considèrent la prison comme leur seconde demeure, et ils refont leurs actes antisociaux sans se soucier de l’effet négatif à l’endroit de la société. La remarque est valable pour les gens qui ne veulent pas se faire soigner alors qu’ils risquent de perturber la société, la famille, etc. Le suivi socio-judiciaire impose, dans plusieurs situations,  une injonction de soins lorsque le condamné a purgé ses peines. Cette condamnation à soigner  fait partie de la stratégie pour remédier la récidive des criminels et des auteurs de viols et d’actes de barbarie qui ont tendance à se démocratiser.